Nous sommes bien d’accord en parlant de « chefs-d’œuvre », le blogueur se laisse peut-être un peu emporter par son enthousiasme… ou par son accablement. Les trois faits qui suivent ne mettent pas en péril les affaires de la commune. Même si, pour l’un d’entre eux, cela aurait pu être le cas. Ces faits veulent simplement démontrer qu’un peu plus de rigueur et de suivi dans l’action municipale du quotidien ne serait pas du luxe.
Le banc de la colère
Ci-dessous, le post publié sur Facebook par une habitante de Sainte-Croix. Il prouve que notre municipalité pousse un peu loin sa conception de la participation citoyenne ! À quoi sert-il en effet d’affirmer que les réunions des comités de quartier sont destinées à prendre en compte les attentes des habitants si ce n’est pour ne leur donner aucune suite, contraignant ainsi les dits habitants à faire eux-mêmes un travail qui relève de la compétence de la mairie ?
Week-end portes ouvertes, salle Palas
Oloronblog a évoqué dans son billet de samedi l’éclairage a giorno de cette salle en cours de rénovation. Rassurez-vous, contribuables oloronais, personne n’a trouvé l’interrupteur ni samedi soir, ni dimanche soir, au moins à l’heure où j’écris ces lignes. Cette question d’éclairage la nuit aurait été évoquée à l’occasion d’une réunion du comité du quartier Pondeilh. Sans suite.
Ce n’est pas tout. Les grilles ceinturant l’accès au chantier sont restées ouvertes en deux endroits une bonne partie de ce week-end. Témoins, ces photos prises dimanche matin par le blogueur. Et quand on sait qu’une ouverture en façade permettait samedi soir d’accéder à l’intérieur de la salle…
Une propriété communale à l’abandon
La maison Combellas est située place de la Résistance, à Notre-Dame. Elle est devenue une propriété communale en 2009 à la suite d’un legs. Sous le précédent mandat, la commune a tenté de la vendre. Sans succès. Puis, sous l’actuelle municipalité, dans un article publié en mai 2023, La République informait que la mairie envisageait « de demander une modification du legs, en vue d’installer un espace d’expositions artistiques au rez-de-chaussée, tandis que des porteurs de projet seraient intéressés pour aménager des logements à l’étage. Le conseil municipal pourrait être sollicité au second semestre à ce sujet ».
Le blogueur n’a pas le souvenir que la question ait été évoquée par nos élus un soir de conseil. En attendant, la maison se dégrade de plus en plus. La photo de son patio intérieur en témoigne. Elle semble même indiquer qu’il faut maintenant soutenir certaines parties qui se sont fragilisées. Si cela continue, comme me l’a indiqué avec humour l’auteur du cliché, Monsieur le maire ne devra pas tarder pour prendre un arrêté de mise en sécurité à l’encontre du propriétaire, comme il l’a fait récemment rue Louis-Barthou.
pour déclarer les écarts, les dangers relevés dans son quartier, il y a 2 applications smarphones:
Oloron Ste-Marie;
IntraMuros
je préfère la seconde plus précise, mais le problème des 2 c’est la réactivité de la prise en compte du commentaire.
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tetetete! remplacer une planche d’un banc public ne se fait pas au pied levé! Vous vous rendez compte des conséquences en cas d’incident ? D’échardes par exemple d’un bois mal poncé ? de rupture en cas de surcharge pondérale ?
Il faut que la commission ad oc avec son capitaine se réunisse, la cbpccpo, afin qu’elle fasse venir un diagnostiqueur sur la raison de sa rupture, qu’un bilan soit déposé, qu’une entreprise assermentée en bancs public (il y en a une dans le nord de la france, je crois ou en Belgique, enfin en europe quoi) se déplace et fasse un devis. Que ce devis soit présenté en commission des finances et soit voté et que la sous préfecture donne son feu vert en publiant les bans. Avec un avantage, la planche aura eu le temps de sécher dans un délai raisonnable. Et ça c’est bien.
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<<Nous sommes bien d’accord en parlant de « chefs-d’œuvre », le blogueur se laisse peut-être un peu emporter par son enthousiasme… ou par son accablement. >>Ou son militantisme .Cela sent la campagne électorale.
Si je me trompe je suis prêt à dire je me trompe.
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Sur Oloronblog la liberté d’expression du commentateur vaut celle du blogueur
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