Les esprits chagrins n’y verront que cache-misère quand les aigris y décèleront le syndrome du « village Potemkine », c’est-à-dire un trompe-l’œil à des fins de propagande. Ni esprit chagrin, ni aigri, le blogueur, lui, apprécie cette idée de décorer les vitrines vides de la rue Louis-Barthou.
Grâce aux initiateurs(la mairie et la CCHB), aux concepteurs, aux réalisateurs et au financeur (l’association des commerçants de la rue) , grâce aussi aux propriétaires de ces magasins qui les ont autorisées, ces œuvres éphémères donnent un petit coup de fraîcheur et de gaité à l’ensemble de la rue.
Mais l’éphémère peut-il devenir à terme quelque chose de plus durable ? Jacques Lestelle défend depuis longtemps l’idée d’apposer sur les vitrines vides des vitrophanies. Les vitrophanies, ce sont de grand autocollants qui représentent… ce que l’on veut (paysage, monument, scène de la vie animale ou de la vie quotidienne etc.). Beaucoup de petites villes expérimentent ce procédé, le temps que les boutiques trouvent un nouvel occupant. Drôle d’idée ou idée à creuser ?
Oloronblog 
Cache misère..Que l’on retrouve de plus en plus dans les galeries marchandes des grandes surfaces paloises à l’abri des intempéries. Et cela malgré de grands parkings disponibles. Par contre les planches à roulettes (in french) vont se régaler.Il faudra peut-être leur prévoir un remonte-pente.Oui je sais c’est encore des sous ! 🙂
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Quand un commerce a comme clients des non-commerces:
https://www.deleage.com/store/deco/decoration-habillage/vitrophanie/
c’est peut-être que la société est bientôt fanny et que ça sent le sapin.
Oui je sais, je casse l’ambiance alors que c’est bientôt Noël 🙂
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Il b0va falloir que j’y aille pour le d’être compte. J’espère juste pour les commercants actuellement en place que cette rue sera plus fréquentée.
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Je n’avais pas fini mon texte, je ne sais pas si l’artiste a eu beaucoup de travail et de vitrines à décorer, j’avoue que je suis perplexe et moi aussi comme Orsay caser l’ambiance.
Mettre un pansement sur une jambe de bois ne rendra pas la jambe à l’unijambiste.
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J’ai connu , gamin, cette rue bondée l’été ,n’étant pas Oloronais de naissance. Le marchand de journaux en bas de la rue où mon père allait acheter le journal local ET mon tintin hebdomadaire. Primordial ! :). Il y aurait une solution intermédiaire pour revivifier l’ensemble. En faire une rue semi couverte, à savoir mettre les trottoirs à l’abri avec des avancées de toit afin de permettre aux gens de flâner et déambuler devant les boutiques un peu plus intimistes sans avoir à craindre les intempéries. Bien que, comme chacun sait, il ne pleut pas en Béarn.
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