Avec la vidéosurveillance, voilà qui ne serait jamais arrivé !


Au cours de sa marche quotidienne, le blogueur passe ce matin devant l’Hôtel de Ville. Des agents municipaux s’activent devant. Ils sont en train de sabler le macadam ! Ils effacent une inscription probablement nocturne. Sur 3 lignes, à la peinture blanche, en lettres capitales : « Maire Picsou » « Commune jackpot » « Habitants jambon »

Inscription

Une manière de manifester son indignation à la suite des révélations d’hier dans La République sur le contenu du rapport de la Chambre régionale des comptes après son contrôle de la gestion municipale sur la période 2011-2016 ? On peut comprendre la colère que ces révélations ont pu susciter. Mais la colère est mauvaise conseillère quand elle conduit à ce genre d’action. Il est d’autres moyens de faire entendre et partager son mécontentement. En tout cas une chose est sûre : jamais un tel fait ne se serait produit si la vidéosurveillance avait été installée devant la mairie (non, là, je rigole !).

 

5 réflexions sur “Avec la vidéosurveillance, voilà qui ne serait jamais arrivé !

  1. churchill

    l’article de la Rep précise :
    « Rappelons que les tags et graffitis peuvent être punis d’une amende d’un montant de 3 750 euros, assortie d’un travail d’intérêt général. »
    quelle sanction pourrait être appliquée à un élu qui mettrait la main dans la caisse :
    – une amende pourquoi pas
    – un travail d’intérêt général : ah non ça on oublie 🙂
    – une sanction de sa propre équipe qui ouvrirait enfin les yeux lors d’un prochain conseil municipal : à suivre…

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  2. Jésus

    En dehors des sanctions prévues par la loi, les citoyens trancheront lors des prochaines élections municipales.
    Car c’est devant eux que les élus doivent rendre des comptes.

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