Voici quelques échos qui n’ont aucun lien entre eux, si ce n’’est d’évoquer les uns et les autres un sujet qui concerne Oloron

Déviation Gabarn – rond-point Borderouge : ça avance

Depuis peu de temps la voie nouvelle a été revêtue d’un magnifique ruban en enrobé. Signe que l’on n’a jamais été aussi proche de l’ouverture de la déviation, même s’il reste sans doute encore de nombreux travaux de finition à réaliser. Et la mise en service, c’est pour quand ? Le maître d’ouvrage de l’opération, c’est-à-dire le département, est chiche en informations sur le sujet. Est-ce que nos conseillers départementaux, qui y ont leurs entrées, seraient en mesure d’interroger les services de cette collectivité pour en savoir un peu plus ? Une fois ces renseignements en main, pourraient-ils avoir la bonté d’en faire part à leurs électeurs ? C’est que nous sommes nombreux à nous intéresser à la question.

Ce bilan social, il en est où ?

Un article entier d’Oloronblog avait traité du sujet il y a 5 mois. Un article où je rappelais que le bilan social, appelé aussi rapport sur l’état de la collectivité (tout un programme) devait en application de la loi être présenté, à Oloron comme ailleurs, avant le 30 juin 2016 au comité technique, une instance qui réunit à parts égales des représentants du conseil municipal et du personnel communal.

Comme son titre le laisse supposer, ce rapport permet d’avoir une idée précise de l’état du personnel et de sa gestion. Une lecture attentive du document, parce qu’elle apporterait une réponse précise à nombre de questions (dont le nombre de recrutement par exemple) serait en mesure de mettre un terme à la querelle qui oppose régulièrement majorité et minorité municipales sur le sujet.

Oui, mais voilà, ce document a-t-il bien été établi ? Je me renseigne dès lundi. Et, dans l’affirmative, comme c’est là un droit ouvert à tout citoyen, je demanderai à en avoir communication afin d’en dresser ici la synthèse.

Polémique du Bastet (suite)

 

On se souvient de la polémique engagée il y a quelques jours autour de la qualité des personnes susceptibles d’être accueillies au centre d’hébergement du Bastet. L’association ayant en charge sa gestion en refuse en effet l’accès à tous ceux qui ne sont pas munis du crédential, ce passeport du pèlerin de Compostelle.

Dans un billet posté en début de semaine, je m’interrogeais : est-ce que cette condition était également d’actualité sous le précédent gestionnaire. Un lecteur apporte ici un début de réponse en m’adressant la brochure éditée en 2012 à l’occasion des championnats de France d’escalade sport adapté qui se sont déroulés à Oloron. Le Bastet figure en bonne place pour l’hébergement des participants. Dont aucun, je le suppose, n’était titulaire du crédential. (Oui, je vous l’accorde, il y a un zeste de mauvaise foi dans cet écho)

Le comité des fêtes d’Oloron en quête d’une santé financière

Le comité des fêtes d’Oloron (à ne pas confondre avec celui de Sainte-Croix, de Saint-Grat ou de Saint-Pée) organise ce dimanche un vide-grenier au stade des Barats. Objectif : contribuer à renflouer ses finances qui, pour des raisons non précisées, accusaient selon un article de La République paru dans le courant de ce mois un déficit de 4 000 €, déficit ramené à 2 500 € à la suite de premières opérations engagées pour rétablir la situation.

Dans cette affaire, la mairie comme le comité ont un comportement que je qualifierais de « normal », si cet adjectif n’avait pris depuis 2012 une connotation quelque peu péjorative :

• La mairie, parce qu’elle se refuse à éponger la dette sans autre forme de procès. Il revient en effet au comité d’assumer sa gestion. Dès lors bien sûr que le déficit n’est dû à des exigences que la mairie aurait pu avoir à l’égard de l’association
• L’association, parce qu’elle se prend en main et cherche par elle-même les moyens de s’en sortir

C’étaient les fêtes de Notre-Dame

Éric Ignacel a trouvé dans ses archives le programme des fêtes de Notre-Dame du mois d’août 1956. Soixante ans déjà. Les spectacles proposés lors de « La Nuit des Vedettes », c’était du lourd, même si le nom des principaux artistes ne dit plus rien aujourd’hui à grand monde. Mais Armand Mestral et Andrex étaient dans leur domaine, l’opérette (c’était aussi des acteurs très connus),  des stars nationales. Opérette, car en ce temps-là, on n’avait pas encore inventé tous ces genres musicaux qui ont animé le Jardin public cette année.

Les fêtes de Notre-Dame ont disparu depuis une quinzaine d’années. Nostalgie ? Même pas.